si ce sont des yeux
pour se perdre avec
ton odeur oblique
en verdure alignée
dans des pentes roses
où ça monte et descend
toutes les marches
des pétales de ton cœur
Roseraie, 1920, huile, plume, papier et carton, 49 x 42.5 cm Städtische Galerie im Lenbachhaus, Munich. Photo © Städtische Galerie im Lenbachhaus München © DACS 2002 |
j’écris des lignes de rêve
en plantant ton jardin
l’ordre pousse ma cabane
et tout son fourbis
au milieu du chaos
de la multitude je n’en
finis pas de t’écrire
comme ma fenêtre
voit la vie en morceaux
je trouve trois couleurs
et je me répète te trouve
dans ton air enroulé
où s’emmêlent nos
proches et lointains
tu reviens toujours
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