il tourne mais où sont
les enfants de nuit quand tu te penches
mes chevaux bondissent
et si le premier venu veut les retenir
dans son viseur il ne
peut qu’être pris sans bouger
sur la piste c’est la
rue où je danse avec tes reprises de vue
mais toi tu montes aux
arbres pour écouter la rumeur
de tous ceux qui comme
le manège font tourner en voix
les paroles-rencontres
une nuit d’automne à Montmartre
tu as retrouvé les
peintres du dimanche et comme Renoir
c’est la lumière de
tes vitesses entoure et tourne mes nuits
en attendant le matin
d’un manège arrêté je vais dormir
tellement tu m’as fait
tourner des pieds à la tête dans ta voix
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