à Dominique Rabaté
chez cet ami d’Apollinaire*,
sans le tableau de Friesz
je n’aurais jamais deviné
cet affront sur chaise bancale
au point de donner le vertige
aux tons ardents de ma phrase
*Fernand Fleuret
https://www.centrepompidou.fr/fr/ressources/oeuvre/cqG7nBM
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