lundi 27 avril 2009

Un "très grand Moderne"

Henri Meschonnic vient de nous quitter. Nous savons qu'homme de désir et de passion, il a travaillé jusqu'au dernier moment — pour preuve, cet ultime et récent opus que nous sommes fiers d'avoir publié. Celui qui voyait le présent comme poésie et la poésie comme présent, celui qui demandait : « qu'est-ce que penser, qu'est-ce qu'un poème, sinon une pratique de l'utopie ? », nous laisse une œuvre abondante, une œuvre de marcheur et de poète, qu'il va falloir lire encore, commenter, critiquer, pour prolonger le mouvement de ce très grand Moderne.


et une note de lecture sur Dans le bois de la langue à l'adresse:

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