tu me
déverbes avec ta nage
et mes 13
ans te courent après
comment
t’attraper pour toucher
tes cils
avec mes bouches et
te souffler
toutes les
voix qui me poussent
comme
pierres qui roulent ou
alors voilà
tous les
ricochets sur ton lac
nous font
marcher sans plonger
et tout
là-haut tu me recommences
dans mon
rêve tu grandis infiniment
et je cours
de tout ton souffle
mes bêtes
rient de cette folie
une claque
me réveille et
c’est toi
oui tu me
parles comme si tu fondais
dans mes
pleurs je te vois tu m’écris
partout où
nous marchons
d’un rêve
l’autre dans notre déversement
(reprise
pour une voix chthonienne)
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