Gebo et l'ombre de Manoel De Oliveira
avec des bouquets
secs sur les murs trempés
l'ombre des étoiles nous
éclairent mortes depuis
longtemps de face c'est
moi le voleur dit le menteur
comment compter
à voix haute les sommes
en buvant le café
de tous les vols et pleurer
le fils comme des gisants
sous la pluie ses petites
bougies ou pétrole
jusqu'à la lumière
des voix qui nous
regardent de l'autre côté
de la table c'est la routine
dans un film plein
de revenants qui disent
je suis là dans le tableau
on dit un Rembrandt un
Oliveira n'entendent que ceux
qui y sont dans l'ombre
du film éblouis enfin
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