jeudi 11 février 2021

dans ma phrase bancale

https://textes.antonincrenn.com/lundi-13-juin-2005/
comme la brume m’aveugle

ton illimité alors m’éclaire


sans que le voir l’emporte


dans ma phrase bancale c’est 


toujours le dire qui la change


en un éclair d’œil, ta voix vive



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